Dan Gharibian Trio

"Avec le Dan Gharibian Trio, formé en 2017 avec l’accordéoniste Antoine Girard et le guitariste Benoit Convert, il gonfle son imaginaire aux vents de la mélancolie slave et du swing manouche. La fibre balkanique demeure, fil rouge de toute une vie, qu’il nous raconte en chansons-passion".

Anne Berthod – Telerama.fr – 15 mai 2021

"Dan Gharibian, l’ivresse du vagabondage. Dan Gharibian porte une barbe abondante, chapeau et santiags, à la ville comme à la campagne….Da Svidaniya Madame, le deuxième album de son trio, fondé en 2017, avec le guitariste Benoît Convert et l’accordéoniste Antoine Girard, est paru début avril. Il y a mis des histoires chantées de sa voix chaleureuse, en arménien, en grec, en romanès, en français "

Patrick Labesse – Le Monde – 7 mai 2021

"Figure emblématique de la musique tsigane, le chanteur et guitariste Dan Gharibian revient avec “Da Svidaniya Madame”, enregistré en trio. Entouré de nouveaux partenaires, Dan Gharibian y reste toutefois fidèle à ses racines arméniennes, rebetiko, slaves et manouches."

Alex Dutilh – France Musique

"Retour de la voix iconique du groupe Bratsch avec un disque poignant, entre jazz et traditions du Caucase et des Balkans"

TSF Jazz – Disque du jour – 7 avril 2021

"Avec l’élégance d’un dandy de la belle époque égaré au XXIe siècle, Gharibian joue les Tom Waits du Caucase jammant avec Django sur des airs traditionnels qui ne s’effacent pas. Inusable".

Dernières nouvelles d’Alsace- 29 Mars 21

"Le paroxysme est atteint avec le titre Gulo, sublime blues arménien qui vous met les larmes au cœur. Cet album a ce pouvoir extraordinaire d’illuminer les âmes."

François Guernier – Francofans – Mars 21

"Avec une classe orientale, une pincée de jazz manouche, Dan Gharibian a tout d’un conteur. L’exil, le voyage, lesespoirs, les désillusions. À écouter tard, les yeux mi-clos".

Jean-Marc Pinson – Ouest France – Avril 2021

"Dan Gharibian, c’est un voyage permanent, entre plusieurs traditions musicales. C’ est également un grand huit émotionnel, entre euphorie et mélancolie".

L’écho Républicain – 5 avril 2021